Une jeune Kazakh, parlant heureusement le chinois scolaire, nous accueille fort gentiment et nous sommes heureux de profiter de la tiédeur apportée par le petit poêle, au milieu de la yourte, poêle qui sert pour le chauffage et la cuisine.
La jeune fille nous sert du thé salé au lait, accompagné de beignets froids, frits, de toute évidence dans le gras du mouton (estomac sensible, s'abstenir!)
Réchauffés, nous pouvons aller sur les rives du lac que le brouillard nous avait caché jusque là. Il est encore gelé sur une bonne épaisseur: une Kazakh casse la glace pour puiser l'eau!
La jeune fille nous sert du thé salé au lait, accompagné de beignets froids, frits, de toute évidence dans le gras du mouton (estomac sensible, s'abstenir!)
Réchauffés, nous pouvons aller sur les rives du lac que le brouillard nous avait caché jusque là. Il est encore gelé sur une bonne épaisseur: une Kazakh casse la glace pour puiser l'eau!
Le soir, au menu, mouton sous toutes ses formes, terminé par un bouillon dans lequel cuisent les os!Des chinois sont là, en "séminaire", semble-t-il, pour le moins anachroniques avec leurs cravates et leurs téléphones.... Le fossé qui les sépare des Kazakhs est immense et nous sommes troublés par les rapports qui existent entre eux... Juste des rapports d'affaires... Idée de supériorité d'un côté et dédain de l'autre...
Après une veillée de discussions ( incompréhensibles pour nous) autour du feu, nous pouvons enfin dérouler les tapis de laine roulés sur les côtés et qui nous serviront de matelas...
Après une veillée de discussions ( incompréhensibles pour nous) autour du feu, nous pouvons enfin dérouler les tapis de laine roulés sur les côtés et qui nous serviront de matelas...
