Et, non loin du foyer, le lit de la grand-mère, un « vrai lit », c'est-à-dire une planche à hauteur de lit avec des couvertures. En face du lit, de l'autre côté de la pièce, une porte qu'on ouvre que deux fois dans la vie : pour la naissance et .. pour la mort !
Deux tables ont été disposées et nous avons droit à un petit apéro… du thé tibétain salé au beurre de yack. Pas mauvais du tout car le beurre n'est pas rance. Comme biscuits d'apéro, des pommes de terre façon « robe des champs » servies dans un panier, de la farine d'orge avec laquelle nous faisons des « tsampas », sorte de boulettes que l'on obtient en trempant une boule de farine dans le thé au beurre, des petits serpentins à la farine de riz, qui font un peu penser à du polyester mais pas mauvais, des gâteaux de farine de sarrasin curieusement jaunes safran.